Art, Spectacle, Culture & Evénementiel

Tyrannie : le nouveau roman de Richard Malka

Avocat Français né le 6 juin 1968, Richard Malka est également scénariste pour bandes dessinées et romancier.

Il débute sa carrière d’avocat en 1992 en tant que spécialiste du Droit de la presse, notamment chargé du dossier de l’hebdomadaire Charlie Hebdo. Au cours de sa carrière, il défendra de nombreux journalistes, sociétés de productions audiovisuelles et agences de presse. Avocat médiatique, Richard Malka prend la parole lors de nombreux débats politiques ou de société, ayant tarit à la laïcité ou en défendant la cause de diverses personnalités publiques appartenant au monde des affaires.

En 2004, il débute la scénarisation de bandes dessinées (L’ordre de Cicéron de Paul Guillon) qui obtiendra un franc succès. Par la suite, il publiera plus de vingt albums et comptera plusieurs centaines de milliers d’exemplaires vendus : polars, oeuvres polito-humoristiques et sciences-fiction.

En 2018, il voit la publication de son premier roman de fiction, Tyrannie.

Tyrannie :

A la frontière de « Douze hommes en colère » et de « 1984 », Richard Malka entraîne ses lecteurs dans un roman tourbillonnant.

Tyrannie est le mariage subtil de roman d’amour, fiction politique et thriller judiciaire qui prend une place à part dans la littérature française.

A l’orée de l’Occident, en Aztracie (nom issu de son souverrain), dans un pays aride, un dictateur opprime le peuple : règne de la terreur, massacres, opposition contenue, délation, sexualité contrôlée…

A Paris, Oscar Rimah, pédiatre renommé qui a fui l’Aztracie après le massacre de sa femme et de ses enfants, comparaît pour avoir assassiné un diplomate Aztracien. Il reconnait ce crime et tente de l’expliquer.

Pour le défendre et éveiller les consciences, Raphaël Constant, jeune avocat, est confronté à une procureure inflexible, des faux-témoins, une journaliste, des intellectuels tentant de justifier l’inacceptable et Amalia, réfugiée politique, dont il est amoureux.

La justice va-t-elle innocenter Oscar Rimah, au nom de la démocratie, ou le condamner ?